Prise de notes du 20 septembre 2009

Avertissement : les notes ci-dessous sont à usage interne de l'association. Elles ont été prise « à chaud » et peuvent ne pas refléter exactement la pensée de la personne même si un affichage en direct permettait de vérifier qu'il n'y ait pas de contresens. Le document doit être pris comme un témoignage brut de la réunion

Tour de table

La réunion a commencé par un tour de table où chacun était invité à dire quelles étaient ses attentes et ses propositions d'action en tant que libriste francilien.

François : j'ai d'autres engagements par ailleurs dans le monde du libre. Avant, on faisait surtout des Install Parties. Maintenant, je serai plutôt intéressé par des conférences. Nous avons du mal à toucher le grand public.

Stéphane : Secrétaire de Parinux. J'ai envie de faire un état des lieux en région parisienne (mairie, EPN, bibliothèque). Par rapport aux autres associations du libre, le GULL est au bas de l'échelle. Je voudrais faire plus de manifestations grand public et que l'on évite de faire jargonneux. Cela m'intéresserait également que l'on ait des traces vidéos.

Thierry : découverte de LInux en 1999 tout seul. Un jour il faut que je trouve des gens avec qui partager. Rencontre avec Parinux sur un salon. Je fais de l’installation pour des amis. Je voudrais me situer par rapport à d’autres personnes. Je suis retraité et du temps libre, ce qui me permet d’être présent sur les salons

Emmanuel : ce que j’attends, un statut juridique derrière lequel on pourrait faire un tas de trucs autour du logiciel libre (plus facile de louer une salle pour une association, ça fait plus sérieux avec un homme politique). J’attends de Parinux d’être fidèle à sa mission. Je participe à l’organisation des conférences et des ateliers, je fais l’administration système des trois machines. Je fais aussi partie d’un certain nombre de structure. Je suis à fond sur Parinux et je ne peux pas faire plus.

Jean-Luc : trésorier de Parinux, à Parinux en 2002, j’avais peur de me retrouver tout seul dans l’apprentissage d’Unix. Journaliste et programmateur amateur. Parinux m’a peu aidé dans ma découverte (mais j’ai appris à manipuler Emacs). J’ai fait des conférences. Je souhaite me mettre de côté. La faune a changé depuis mon arrivée : de moins en moins de gens qui cherchent à comprendre comment ça marche et de plus en plus des gens qui cherchent quelque chose de fonctionnel. Je suis de Rambouillet

Vincent-Xavier : longtemps regardé ce que faisait Parinux avant d’adhérer. J’ai adhéré surtout pour le lien local, pour rencontrer des gens. On ne fait pas grand chose on pourrait faire beaucoup plus, je me suis investi dans des ateliers, dans les premiers samedis du libre pour aller à la rencontre du grand public. Manque de choses de haut niveau. Comme Emmanuel, j’attends de Parinux une structure légale et une forte réactivité. Si vous proposez quelque chose, n’attendez pas qu’une autre personne le fasse à votre place. Parinux est une association locale dont chacun est le héros.

Aurélien : comme les autres. J’ai adhéré pour rencontrer des gens passionnés par le logiciel libre et pour en aider d’autres. Je m’attendais aussi à des choses plus techniques.

Rayna : adhésion l’an dernier, je n’ai aucune formation en informatique. Ma migration à une distribution libre était un peu « obligatoire ». J’avais de rencontrer des gens sur le sujet. Ma formation universitaire s’est tourné vers l’informatique. Mes attentes ont été déçues, ce n’est pas auprès de l’association que je trouvais de l’information mais auprès certains de ses membres. J’attends de voir, j’ai envie de faire des choses.

Vincent : militant du logiciel libre (notamment dans le groupe de travail Libre Association de l'April), j'ai adhéré à Parinux pour avoir un ancrage local à mon action. Comme Stéphane, je suis intéressé par faire un recensement des acteurs du libre en Île-de-France pour savoir qui sont nos alliés.

Quesh : je fais des conférences pour Ubuntu, j’aide à l’organisation des évènements Ubuntu Parties, j’ai réinitié un rendez-vous mensuel sur Paris, les samedis du libre à la Cité des Sciences (petit histoire : on discutait dans un bar avec Thomas Séchet, des gens qui venaient aux Ubuntu Parties avaient besoin d’un lieu et d’un rendez-vous régulier pour discuter autour du logiciel libre, venir chercher de l’aide : rendez-vous à jour, heure et lieu fixes). C’est un suivi des Install Parties. Je suis également adhérent April. J’attends de Parinux une assistance sur la logistique, des retours d’expérience, des conseils, du savoir-faire. J’attends des choses et ce que je peux donner : professionnellement, je fais du marketing et je pense que le logiciel libre manque d’approche marketing.

Olive : deux ans à Paris, adhésion à Parinux il y a trois ans. Je ne suis plus adhérent parce que je ne sais pas à quoi sert l’argent. Je fais peu de choses à Parinux. Mes activités sont les Ubuntu Parties en tant que membre d’Ubuntu-fr. Parinux devrait être présent dans tous les évènements d’Ile-de-France autour de l’informatique (et au delà, comme la foire de Paris). Ces occasions où on peut avoir un stand pour parler avec les gens sont utiles. J’attends de Parinux qu’ils soutiennent les évènements faits par ailleurs. Au sujet des Install Parties, il ne faut pas rendre un service sans contrepartie, leur expliquer comment ils peuvent aider (exemple de la traduction Drupal). Manque également d’aspect « geek » (triage de bogues, etc.). Parinux pourrait devenir une référence politique en Ile-de-France.

Matthieu : Compétence dans l’administration système, à Parinux depuis une semaine. Toujours intéressé par le libre, j’ai fait le pas récemment. J’ai recherché l’association la plus proche. Ce qui m’intéresse : 1) de progresser dans l’utilisation des distributions, Parinux était un peu flou dans sa communication, j’avais du mal à comprendre ce qu’elle cherchait à faire (de l’aide aux utilisateurs ? une association de « geeks » ? une association polituqe). J’ai adhéré dans un but technique (je suis intéressé par l’embarqué, notamment en téléphonie). Mon impression : Parinux a le but de faire découvrir le libre à monsieur tout-le-monde. Question : est-on centré sur Paris ou est-on plus vaste (région parisienne) ?

Julia : retraitée depuis deux ans, j’ai débuté avec Mandriva en 97-98, j’ai fait un cours dans mon institution sur le logiciel libre, je ne sais rien faire en programmation et je sais mieux communiquer à l’écrit qu’à l’oral. J’ai travaillé sur les conférences. Parinux m’a beaucoup aidé grâce à son site et je travaille sur le site. J’ai beaucoup de temps libre mais c’est une aide ponctuelle, du fait d’une connexion à internet hachée [en cause mes déplacements en zone “non adsl”]. Je n’attends rien de Parinux mais j’attends plus de performances des distributions, plus de stabilité (assez des changements tout les six mois). J’aime le changement mais je voudrais un peu plus de stabilité. J’aime bien les premiers samedis, j’aime bien le contact avec les gens qui ne connaissent rien.

Mathieu : arrivé en région parisienne il y a trois ans, je voulais une porte d’entrée dans le monde des libristes. J’attends du lien de Parinux. On est là pour se mettre en contact. Si j’ai du temps, j’aide que ce soit dans le contact avec le public que dans des choses plus techniques. Orientation personnelle : plus de « geekerie ».

Sabine : Linux en 1999-2000, je suis arrivée sur Paris et j’ai adhérée suite aux rencontres du jeudi. Ce que je souhaite de Parinux : deux faces, une face pour les geeks et une face pour le grand public, qu’elle fasse les deux. J’ai conscience des limites d’une association constituée de bénévoles c’est pourquoi je n’en attends rien de précis. Je serai moins présente dans Parinux dans l’année qui suit.

Thomas : président de Parinux. J’ai rencontré Parinux en 1998 puis l’April et je suis venu petit à petit vers le libre. Mon premier travail a été d’ouvrir la Cité des Sciences aux associations du libre (à l’époque, l’April, le GCU Squad qui ont fait les premiers samedis du libre à la Villette). Toute activité régulière est lourde à monter. Manque de renouvellement dans les activités proposées. Problème de rythme et de communication de l’offre. Manque de rencontre avec le public. Dans mes attentes, sortir des communications grand public, les associations de libristes ont tendance à parler entre eux dans un langage inaccessible au grand public. Il y a eu des améliorations (succès du phénomène Ubuntu). Le logiciel libre n’a aucun budget de pub et fait concurrence à des multinationales capables d’investir des sommes importantes. Organiser des activités sur Paris n’est pas toujours facile (difficulté d’avoir des salles le soir), il est plus facile de trouver des lieux en direction du grand public, le samedi ou le dimanche. Souci : pouvoir bénéficier de lieux où donner rendez-vous au grand public. Problème de communication interne, les libristes n’utilisent pas les mêmes outils (tout le monde ne pratique pas IRC, difficulté à utiliser des listes de diffusion).

Paul : Vice-président. J’ai découvert Linux en 1995, on a maintenant quelque chose d’extrêmement convivial. Est-ce que cela un sens de continuer les Install parties ? Je pense que oui : les gens continuent à avoir peur de l’informatique, il faut les prendre par la main et les gens ont des questions pointues. Je voudrais que Parinux fasse l’interface entre les gens qui ont des questions et ceux qui ont des réponses. Il faut participer à des évènements qui n’ont aucun rapport à l’informatique. [modifier] Thèmes débattus

Après le tour de table, nous avons listé un certain nombre de points qui ressortaient du tour de table. Ce sont les points suivants :

  • Problématique des deux publics
  • question des lieux (choisi de traiter ça en petit groupe mais finalement abordé au moment du statut juridique)
  • Communication interne et externe (qui comme on le verra par la suite a été traité en même temps que la question des deux publics)
  • Importance du statut juridique.

Problématique des deux publics

Deux choses : les amateurs d’informatique et le grand public.

François : il y a une ambivalence des deux publics,

Vincent-Xavier : retour d’expérience sur des échecs et des semi-échecs. Besoin d’un travail préliminaire : est-ce qu’on veut s’adresser à des « geeks » d’autres associations ou au grand public. Idée : se donner une fiche méthodologique histoire de systématiser notre démarche

Stéphane : toujours le même problème : soit on en dit trop, soit on en dit pas assez. On manque de données adaptées.

Rayna : quelle proportion d’évènements en direction des informaticiens et quelle proportion d’évènements en direction du grand public. À quoi on donne la priorité.

François : il ne faut pas être dirigiste. Il faut que l’on soit sur le terrain pour voir ce que les gens veulent.

Paul : j’organisais des conférences : on peut parler du public mais aussi des conférenciers. Cela dépend de l’implication du conférencier et à qui il veut s’impliquer.

Emmanuel : règle fixée, une conférence sur deux pour les geeks une autre pour le plus grand public. Le programme est dicté par les gens qui l’organisent mais aussi par les conférenciers que l’on trouve. C’est une question de saisie d’opportunité (exemple de la conférence PostGreSQL).

Rayna : demande d’évènement plus technique

Matthieu : Parinux pourrait-il se rattacher à un projet particulier, entrer dans le développement

Paul : il faut qu’il y ait des gens en face

Vincent-Xavier : on assiste à l’émergence d’associations sur des thèmes particuliers et dont le but avoué est de fédérer des gens à une thématique. Ce n’est pas le but d’un groupe local de se rattacher à une thématique particulière).

Sabine : d’accord, mais faire des évènements avec eux comme le fait déjà pour les distributions.

Thomas : ou alors autour d’outils que l’on utilise au sein de l’association (exemple de la traduction de Drupal, de Dolibarr).

François : j’appuie fortement l’idée que l’on utilise des outils spécifiques aux associations, les utiliser pour ensuite les faire connaitre.

Rayna : c’est parfois étonnant d’avoir la réponse « ce n’est pas facile à faire ».

Jean-Luc : le côté « geek » risque de faire fuir même s’il y a des choses grand public.

Quesh : si à l’arrivée d’une personne, on propose un cheminement. La personne ne va pas partir si elle se sent accueillie. IL faut proposer des contenus différents.

Jean-Luc : c’est facile de le faire en contact physique.

Paul/Aurélien (et d’autres) : couper le site en deux !

Vincent-Xavier : se mettre à trois ou quatre pour décider qui le fait, on est à peu près d’accord sur la façon de le faire mais maintenant il faut le faire. Je suis près à m’y lancer.(Volontaires motivés : François, Emmanuel, Paul, Sabine, Quesh, …). Je propose de lancer un atelier interne. On aura de toute façon des difficultés à se rencontrer à plus de cinq. Il faut que l’on s’oblige à faire un compte-rendu.

Quesh : l’an dernier, j’ai fait un travail sur les question de communication internes et externes, ce sont des outils et des méthodes qui peuvent s’appliquer à Parinux. J’ai des présentations dont on peut s’inspirer, je vais les récupérer, cela peut servir de base.

Rayna : le wiki est un outil qui ne fonctionne pas.

François : il faut ouvrir le wiki

Emmanuel : d’accord mais il faut vider la base de données. Manque d’un message d’accueil avec les codes d’accès aux outils.

Sabine : deux courriels sont envoyés : la confirmation du paiement et un login.

François : besoin de faire un bilan d’activité à la fin de tout évènement. Il faut que l’on essaie de systématiser tout ça. On publie sur le site pour le faire vivre.

Emmanuel : Possibilité d’écrire sur le site web et d’envoyer sur la liste.

Thomas : écrire pour la communication interne, ce n’est pas la même chose qu’écrire pour la communication externe. Il faudra mettre ses pages inaccessibles à Google mais accessibles à tout le monde (pas besoin d’identification). Problème de respect de la vie privée.

Vincent : question de la présence dans des manifestations autre que celles de l’informatique ?

Stéphane : Exemple de la fête de l’Huma. On a distribué des prospectus mais on a eu très peu de retour.

Vincent-Xavier : on manque d’un document sur « comment tenir et animer un stand ». Il nous manque de procédure pour garder la trace d’un contact ?

Emmanuel : la première chose que l’on pourrait faire, c’est leur proposer l’abonnement à la liste.

Question : une lettre mensuelle sur l’activité de Parinux est-elle possible ?

Réponse : Ce n’est pas fait systématiquement.

Quesh : avoir un kit « salon » serait utile (le matériel à prendre, les gens à prévenir, ce qu’il faut faire sur le lieu).

Vincent-Xavier : une simple malette pourrait suffire.

Matthieu : Parinux a-t-il un prospectus ?

Quesh : on a expérimenté à la braderie de Lille un document avec les prochains rendez-vous, les adresses de contact. Cela permet de briser la glace. On peut agréger ce type de document et en faire un kit.

Julia : problème d’avoir des personnes qui s’en occupent et qui font parvenir l'équipement à ceux qui participent aux événements.

Sabine : si on fait des sessions de bienvenue assez courtes aux adhérents, il serait intéressant de leur présenter les kits.

Quesh : il y a plein de gens qui sont près à faire des choses minimes.

Matthieu : il faut faire des appels en interne pour demander de l’aide.

François : problème de communication interne.

Rayna : souvent des appels sur des évènements organisés par d’autres mais pas d’appel sur des évènements internes.

Emmanuel : ce sont les évènements qui demandent le plus de personnes

Vincent-Xavier : une fois que quelque chose a été publié sur l’agenda du libre et sur le site, je pense avoir fait mon travail.

Matthieu : est-ce qu’il n’est pas possible d’automatiser le passage de l’agenda du libre vers la liste.

Emmanuel : ce serait possible de faire le lien entre le site et la liste.

François : une annonce en externe ne suffit pas, il faut faire une communication en interne à part.

Julia : il faut reprendre le système d’inscription : confirmation ou non de la personne qui s'inscrit. Expliciter la nécessité de s'inscrire pour être prévenu en cas d'incident de fonctionnement.

Vincent-Xavier : pour les ateliers, il y a des messages envoyés avant.

Thomas : on doit motiver en interne qu’en externe. À partir du moment où quelque chose est écrit, il faut laisser une ouverture (on peut prendre ça comme quelque chose de formalisé alors qu’il faut pousser les membres à intervenir car on a toujours besoin d’aider).

Paul : le courriel, c’est bien mais cela peut devenir lourd.

Jean-Luc : l’époque on a eu le moins de mal pour toucher le monde, c’est quand on poussait une gueulante au troisième jeudi pour pousser les gens à intervenir.

Thierry : je voudrais que l’on ait une vraie démonstration du site pour savoir comment on l’utilise. Je passe à côté de plein de choses.

Vincent-Xavier : question sur le canal IRC, est-ce qu’on met en place une journalisation ? Comment bien l’utiliser pour que cela devienne un outil de communication effiace ?

Francois : le canal d’IRC n’est pas un canal de communication, c’est juste un canal de discussion informelle.

Paul : attention, il y a des gens qui détestent qu’on les enregistre.

(Coupure avec présentation du site de Parinux par Emmanuel).

François : les outils internes doivent être présentés à l’AG.

Point sur le statut juridique

François : je n’ai pas la solution, il y a un certain nombre de bogues :

  • CA paralysé par une absence d’un petit nombre de personnes
  • dire non à quelqu’un d’entrer dans le CA pour des raisons administratives

Il faut réfléchir à la reprise du règlement intérieur

Thomas : raison historique : peur du putch. Un certain nombre de verrous ont été posés. Je n’ai pas peur du putch. Il y a sans doute des choses à reprendre.

Julia : de fait, on fréquente Parinux bien avant d’adhérer.

Jean-Luc : à une époque on a rêvé d’être une association avec l’agrément d’éducation populaire, nous avons alourdi des règles inutilement.

Emmanuel : Fedora-Fr a trouvé une bonne solution : alternative : soit un an d’adhésion soit deux garants au CA.

Thomas : échéance de dépôt de candidature avec une profession de foi.

Vincent-Xavier : à l’heure actuelle : un an d’ancienneté et cooptation de deux membres.

Rayna : les membres n’ont pas beaucoup de marges de manoeuvre par rapport au règlement intérieur (par exemple, un membre n’a pas la possibilité de convoquer une assemblée générale extraordinaire).

François : personne ne connait le règlement intérieur, il faudrait le simplifier.

Vincent-Xavier : dans certaines associations, un quorum d’adhérents peut demander une assemblée générale extraordinaire.

Rayna : question de la durée de la cotisation (calendaire ou glissant)

Vincent-Xavier : on a peu de retour de la part du CA, on peut se sentir bloqué parce qu’on ait pas membre du CA.

François : j’ai fait une proposition qui engage financièrement l’association, je n’ai pas eu de réponse « officielle ». Il est normal que les gens bénévoles ne soient pas disponibles mais il ne faudrait pas que l’absence bloque l’association. Cas de l’été où des gens sont en vacances mais c’est là aussi que l’on a le plus de temps pour préparer l’année qui vient.

Recherche de salles

Vincent-Xavier : exemple du cas des EPN qui demandent la signature d’une feuille de présence

Julia : il y a un flottement dans les EPN (nouvelle directrice) avec obligation que chacun signe une feuille de présence

Thomas : c’est l’application aux EPN des règles des bibliothèques.

Sabine : on est dans le cas où des gens viennent simplement assister à une conférence, il n’y a pas de « consommation » ou d’emprunt. C’est pour moi inacceptable.

Quesh : pour moi aussi c’est inacceptable

Julia : dans une bibliothèque, si je consulte je n’ai pas à donner mon nom. La personne de l’EPN n’a appris que la conférence n’avait lieu qu’une heure après. Nous n’avons pas de contrat, nous sommes sur un strapontin. On nous prête des choses.

Vincent-Xavier : à l’heure actuelle, nous sommes sans roue de secours.

Julia : il nous ont mis exprès le mardi où on est tout seul. Je me sens mal d’aller me plaindre. Au delà de 20 personnes, on est obligé d’avoir deux portes.

Stéphane : nécessité de faire le point sur les EPN qui sont prêts à nous accueillir. Ils nous prennent pour un institut de formation.

Vincent-Xavier : il y a certaines décisions que je n’ai pas pu prendre car cela relève du CA (exemple : la décharge de responsabilité).

François : il faut s’organiser pour faire un recensement des acteurs de Paris

Matthieu : il faut faire un groupe de personnes et quadriller le terrain.

Julia : il faut que l’on définisse, nous, ce que l’on apporte aux EPN, faire de la négociation.

Paul : mutualiser les salles et les contacts

Anonyme : Et Le CNAM ? (réponse ; c’est cher).

Thierry : nous sommes une association à Noisy-le-Grand, une fois par mois, ils nous prêtent une salle sans souci.

Vincent-Xavier : énorme différence entre Paris et la Banlieue. En banlieue, il y a des facilités faites aux associations. À Paris, tout ferme à partir de 18h.

Stéphane : détail technique : pour obtenir une salle, il faudrait se faire paraînner par une association pré-existante qui connait déjà bien la mairie

Rayna : les SSLL ? les entreprises ?

Emmanuel : problème de responsabilité. Cela marche s'il y a un salarié qui accueille.

Vincent-Xavier : il faut monter un groupe de travail : qu’est-ce qu’on veut, délimiter ce qu’on veut offrir ?

Vincent : proposition d’un annuaire, à la fois des organismes et des personnes.

François : besoin d’avoir l’expérience passée de nos différents contacts.

Thomas : il faut que cela reste des discussions privées au sein de groupes de travail.

Julia : EPN libre dans le 20ème, également dans le 11ème. Il faut que l’on soit clair entre nous sur le discours que l’on tient aux EPN, sur ce que l’on est prêt à leur offrir. Les EPN ont besoin de formation. [modifier] Conclusion

Le prochain troisième mercredi aura lieu à la FPH : le 21 octobre.

Bilan d’activité de la séance:

  • très constructif on est dans le calme
  • première fois que l’on est pas à l’arrache.
  • que chacun ramène quelque chose la prochaine fois
  • possibilité de stocker à la FPH biscuits, fruits secs, boissons.
  • à discuter : refonte du graphisme et production de tee-shirt
 
/var/lib/dokuwiki/data/pages/compterendus/2009-09-20.txt · Dernière modification: 2010/04/14 18:02 par vxjumel
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