Vincent Calame, adhérent de Parinux, avait évoqué le sujet lors de la dernière réunion des membres, le mercredi 14 avril : Julia et moi-même sommes allés rencontrer Jean-Marc Blanchais de l'association La Commune libre d'Aligre samedi 17 avril et je suis retourné hier (lundi 26 avril) pour rencontrer le comité d'animation et présenté le projet d'intervention. La réception du projet par le comité d'animation a été très bonne.
Vincent a retranscrit nos démarches sur la liste adhérents le : 27/04/2010 15:55
l'association la Commune libre d'Aligre (http://www.cl-aligre.org) gère un café associatif au 3 rue d'Aligre dans le 12ème arrondissement. Ce café fait partie d'un ensemble appartenant à la mairie de Paris qui s'appelle la maison des ensembles qui a longtemps servi de base à la lutte pour le droit au logement, qui est maintenant rénové et dont la plus grosse partie va être gérée par la ligue de l'enseignement (les membres de l'association n'ont pas pu me dire plus sur les futures activités de la ligue, les relations n'étant pas au beau fixe).
Le café associatif possède une quarantaine de places (en se serrant bien) et quand il fait beau, on peut s'étaler dans la cour à côté. Le café a une licence III (ne peut servir de l'alcool qu'au moment des repas), la cuisine est faite par les bénévoles après achat au marché d'Aligre à côté (ce qui donne des repas à dix euros). Le café héberge de nombreuses activités, avec souvent des projections (ils ont un projecteur et la connexion internet via une Livebox) suivi (ou précédé) d'un repas, le samedi après-midi c'est couture par exemple. Hier soir, pendant le comité d'animation, j'ai vu défiler de nombreuses demandes.
Principe de base : une soirée ne doit pas être une soirée fermée, les gens de l'extérieur doivent pouvoir y participer.
L'idée de Jean-Marc, notre contact, est d'organiser un cycle autour du logiciel libre et des formats ouverts. D'un point de vue personnel, je pense qu'il est intéressant d'investir de nouveaux lieux de ce type pour toucher un autre public. À noter que ce public est a priori sensible aux questions éthiques derrière le logiciel libre.
Nous avons proposé le cycle suivant avec deux soirées et un dimanche après-midi (description écrite par Jean-Marc) :